Il est toujours temps de se réveiller face à une terrible réalité : le harcèlement !

Si vous vous êtes enfoncé dans une situation forcée de dépendance, de repli sur vous, d'étouffement, sous la coupe d'une autre personne qui se pense supérieure à vous, si vous êtes en incapacité de reprendre votre place, dominée par la prise de pouvoir de l'autre, à en perdre moral ou stabilité nerveuse :vous êtes victime de harcèlement. Ce n'est rien d'autre qu'un chantage odieux qui vous réduit au rang inacceptable d'objet-jouet de l'autre.

Que ce soit un lien aimant ou professionnel, nul ne peut s'arroger le droit de vous faire du chantage affectif ou de vous mettre la pression pour obtenir toute satisfaction à vos dépens !

Souvent le diktat de l'autre se profile par agissements discrets au départ, culpabilisants, insistants et puis la toile se tisse en testant vos réactions jusqu'à obtenir une méthode infaillible visant à vous engluer, vous désarticuler, vous faire disparaître ainsi que toute votre volonté anéantie !

Paroles blessantes, isolement, suggestions angoissantes pour l'avenir, dévalorisation,etc.. tout est valable pour couper toute votre capacité de réactivité à court terme.

Mais votre corps peut vous sauver, il va parler de perte de sommeil, de symptômes de douleurs forts, de manque de respect ressenti,.. lui il sait ce que vous vivez !

Vous devez oser contester cette prise de pouvoir, sortir du conditionnement où l'autre vous réduit par intérêt et intelligence tactique.
Soyez convaincu que le harcèlement n'opère que sur des personnes consciencieuses, dévouées et que vos qualités ne sont pas à remettre en question, Pour autant, votre jugement doit évoluer : le harceleur n'est votre bourreau que si vous lui permettez de persévérer ainsi.

L'emprise cesse dès que vous retrouvez une prise de parole de dignité, exigeant une équité dans l'échange.
Vous libérer de parole ou de corps c'est casser ce lien anormal pour récupérer à nouveau de votre liberté tant aimée.

Vous pourrez alors redécouvrir l'être intègre que vous étiez avant.

Jamais dans la certitude vous ne pourrez écrire le livre de votre avenir.
Même dessiné à grands traits ou deviné par intuition, il sera toujours à explorer.
Sa découverte aussi effrayante qu'excitante est le vrai chemin !

En connaître déjà l'aboutissement serait chagrin, comme un destin trop tôt aperçu qui perd attrait et goût pour sa conquête. Gravir marche après marche élève notre estime et après l'ascension la vallée du repos de l'esprit se fait jour.

Accepté ou refusé, notre chemin préserve sa part de liberté à être ou demeurer dans l'ombre.
Dès que vous consentez à ouvrir vos ailes de confiance vers cet inconnu pré-tracé, vos pas se posent sur des pavés sans danger pour vos voûtes plantaires.

Il attend de vous être montré : ce chemin des coeurs courageux.
C'est une pure ballade pour les vertueux !

Comment deviner si c'est bien elle la bonne personne ? Tant attendue ou presque plus espérée ?

Celle qui suscite un émoi, une interrogation curieuse ou un élan de frénésie ? Amicalement ou plus encore d'ailleurs.
Et juste après, la peur de se tromper s'abat dans l'esprit d'un coeur déjà échaudé..
En fait, il n'y a jamais d'erreur et vos rencontres ne sont pas le fruit du hasard. Elles témoignent de vos avancées sur la route de la recherche de l'amour inconditionnel (sans conditions).

Ce terme, vague et audacieux pour certains, idyllique mais théorique pour d'autres, est une réalité.
Il se trouve dans le champ des possibles à condition de prendre garde à vous et de vous relier à l'autre en scrutant toutes ses réactions.
Les indices vous seront fournis par votre vécu émotionnel : ouvrez vos yeux de l'intérieur, comme un détective, un chasseur guidé par ses instincts intuitifs.

Pour aller plus loin dans la rencontre ou pour renoncer dans l'aventure à deux, demandez-vous avant quel message vous envoie cette personne par son comportement ?
Enthousiasme ou crainte, sincérité ou approche calculée peu engageante ?
Si vous ne voulez pas être la proie de l'autre qui vient chercher un défi auprès de vous, posez vous la question : qu'êtes-vous prêt à donner ?
Vous êtes forcément un miroir pour l'autre, son attitude de partage consiste-t-elle à diriger ou à collaborer tout en inspirant une suite digne d'intérêt ?

La personne peut vous être dévoilée et peu importe la relation d'amour ou d'amitié si vous y consentez.

Il faut observer, ressentir et s'engager pour un temps souhaité heureux ou laisser cette personne passer son chemin pour laisser entrer la suivante plus désirable encore.

C'est souvent le rêve de toute une vie, de devenir un homme accompli qui laissera une trace générationnelle après lui.
L'instinct d'un couple uni et aimant finit majoritairement par désirer combiner son nom au futur par un mélange de chairs : par une paternité-maternité.
Toujours-est-il qu'elle plonge l'homme dans une transformation coûteuse pour certains, laborieuse et expérimentale, en devenant père.
Loin d'en percevoir tous les contours, ce cadeau de la vie ouvre les portes d'un champ de responsabilités infinies pour toujours.

En voici les 10 clés pour y demeurer en équilibre (ou presque comme un équilibriste selon les âges de l'enfant) :
1/ Ne jamais se croire en pays conquis même en position d'aîné.
2/ Le bébé devient le centre de rayonnement de votre vie qui gravitera parfois à contre sens (contre vous !)
3/ Le passage d'une vie de 2 à 3 peut prendre allure de combat..contre lui et soi-même qui s'adapte continuellement.
4/ La place de la mère n'est pas royale : aucune couronne à lui décerner pour avoir enfanté. Elle est votre alliée pour élever cet enfant.
5/ Le fil conducteur de la paternité est l'adaptabilité (aux priorités familiales !) Un papa heureux recherche a avoir bonne conscience.
6/ La loi du renoncement tu appliqueras et la bonté de coeur tu découvriras. Tu ne sers plus tes désirs en premier.
7/ L'esprit torturé par l'envie de courir après un idéal, en jouant son rôle paternel, est monnaie courante.
8/ Le sacrifice du père protecteur n'a pas lieu d'être de nos jours mais il est conservé dans nos pensées culturellement. 9/ Le père est le gardien de l'enfant pour quelques années puis tout disparaîtra : nul maître, nul vassal !
10/ Plus jamais un père ne sera comme avant après l'accouchement : mais le voudrait-il sachant qu'il a désormais trouvé encore plus de raisons d'aimer ?

Ouvre-moi ton coeur que j'en vois la profondeur !
Gentillesse je sais que tu es là.
Patiente, elle attend longuement mon retour d'intérêt pour elle.
Si je la garde, je mesure la taille de ma capacité au dévouement.
Appelle-moi quand tu réclames force et soutien : en silence, si je me sens démuni, elle me réchauffera.
Si je l'oublie, aucun mot de gratitude ne me parviendra.
Comment être comblé de prévenance ou entouré de douces pensées alors ?

Parfois, en effet, le coeur rempli de gentillesse s'est fané face à la méchanceté.
Apprends à comparer avec et sans ma présence chaleureuse ce que tu deviens.
La gentillesse recouvre l'incompréhension et la colère tenaces.
Elle permet de se redonner une chance et de retrouver de la compassion.
Ressentons au fond de nos coeurs ce que gentillesse signifie : c'est l'aimable et tendre attention donnée en considération de l'autre.

Gentillesse de coeur se relie avec noblesse de coeur. Ne la gâchons plus !

Il ne coûte rien le sourire. Il se dispense sans contrepartie.

Il se porte dès le plus jeune âge sur le visage et peut embellir toute une face : celle de l'enfant, jamais désabusé par une vie remplie de pauvreté ou de maladie par exemple !
Il irradie comme par magie à certains moments de la vie et fait le bonheur des photographes: il contamine n'est ce pas par image ou en face à face ?

Quand il se pose sur l'être amoureux, il étincelle si fort qu'il peut donner de la lumière à l'étoile polaire !
Pourquoi s'en priver ?
Le sourire démontre, en souterrain, votre aptitude à prendre du recul, peu importe ce qui se passe réellement. Si il se raccroche à vos lèvres vous êtes déjà vainqueur dans une épreuve.

Vous gardez foi en votre avenir, qui s'ouvre immensément, avec un sourire revenu..
Avec lui, vous serez mieux, et avec plus de hauteur pour avancer : en le conservant c'est un mieux-être acquis.
Mais enfin, si il se pend à vos lèvres, destinez-le à un autre que vous, accordez vos violons sur une même partition avec celui qui est devant vous, l'heureux destinataire.

Quand il est donné, il est généralement rendu à l'identique.
Comment ne pas répondre à un sourire : il doit demeurer un réflexe instantané à adopter à jamais !

Nous avons majoritairement choisi de devenir parents sans imaginer la suite véritable de nos futurs engagements ! Le rêve est souvent vite rattrapé par la réalité.

Vous, comme nous, le comprenons dès la naissance : cet autre appelé bébé va nous obliger à nous confronter à notre sens du devoir et à nous redécouvrir tout autrement sous un nouveau jour, un nouveau rôle est né !
Une facette de nous méconnue s'ouvre : bienvenue dans la parentalité !

Le film d'une vie à trois (pour commencer !) s'est élaboré dans votre imaginaire et à présent se déroule sur "grand écran" quand bébé apparaît.

Une découverte mutuelle s'enclenche car nous nous devinons plus que nous nous connaissons au tout départ de la rencontre : face à la fatigue ou à l'incompréhension des signes non verbaux du nourrisson, le parcours du " combattant pour garder l'harmonie" débute. Comment l'aider, le soulager, le tenir et l'aimer parfois ?

Le parent grandit dans son nouveau rôle pas à pas...autant que son petit ange.

Tout ce qui était encore de l'ordre des émotions masquées ne sera plus dissimulable en devenant parent pour les êtres pudiques : le partage a lieu à toute heure entre vous et lui, de jour comme de nuit ! Il faut assumer à 100%.

Un long fleuve tranquille ? Pas toujours ! Si le parent tient bien le gouvernail, il ne chavirera pas et tout à bâbord pour le meilleur !

Entre phases d'émerveillement et de patience infinie, c'est le tout petit qui apprend au grand à trouver l'amour sans conditions et, l'un face à l'autre, apprend à le donner comme à le recevoir pleinement.

Être titré de roi ou de reine peut sembler émaner d'un autre temps et pourtant bon nombre d'entre nous semblent outrancièrement centrés sur leur pouvoir à exister (seuls) comme s’ils portaient une couronne !

Couper la parole, ne pas écouter mais tout juste entendre son voisin (de table, de siège de métro...), ne pas considérer les avertissements de nos aînés, se fermer à l'information, ignorer… vous reconnaissez ? Vous vous reconnaissez ?

Pour évoluer sereinement et apprendre de la vie, gardez une seule phrase en tête " Devenez celui ou celle qui vous rendrait fier d'avoir existé après votre départ " !