12-11-2019
Luttons contre cette envahissante ennemie qu'est la colère : quand elle nous saisit, elle nous transporte comme dans une tempête, notre bateau peut même chavirer. Les vagues de colère peuvent détruire la cale, ce fond solide d'équilibre pour le maintien sur l'eau.

Mais là, c'est nous qui prenons l'eau !
Si vous sentez la colère affleurer, il faut refuser qu'elle vous submerge !
Elle est totalement dissociée de votre humeur et n'a pas de raison de s'installer : elle véhicule une émotion forte et irrépressible mais passagère.

Elle peut être endiguée comme un barrage : visualisez-la en forme de vague, refoulez-la, elle est inutile, elle vous dérange !
Elle porte un sens : trouvez-le (révolte, incapacité, impuissance face à l'injuste,..).

Reprenez les commandes et changez votre mode d'expression (partir s'apaiser, écrire, se ressourcer, réfléchir,..)et vous serez fier de vous !

Vous serez à flot plutôt qu'être dévalorisé sous l'emprise colérique.
12-11-2019
Et si vous l'attrapiez par l'encolure cette soudaine fermeture d'esprit ? cette mauvaise humeur apparue ?

Le visage tendu ou impassible, vous vous êtes levé d'une humeur chagrine peut-être ?

Ou bien tout à coup en pleine journée d'esprit mal tourné vous vous sentez ?

Nulle raison de penser que cela va durer ! L'expression émotionnelle vacille naturellement chez l'homme au cours de ses 24h, fortement influencée par vos traits de caractère.
L'humeur reflète juste votre tempérament en réalité.

Ce tempérament, quant à lui, est stable, de part sa constitution mais les évènements qui malmènent la vie d'une personne modifie son humeur : elle peut même jaillir comme un volcan (et plus faiblement chez les personnes réfléchies et moins expressives).

N'attendez pas qu'une bouée vous soit lancée par votre entourage en ces instants difficiles pour vous calmer et courrez la chercher vous-même cette bouée: sortez, respirez, chantez, méditez, etc..un vent d'air sur vos pensées rafraîchira vos idées. Choisissez la façon !

L'instant d'après, le changement d'humeur est possible de nouveau : un nouveau souffle vous anime et le retour à l'équilibre s'installe.

Comme ré-animé ? L'anima c'est bien le "souffle de votre âme" selon la définition de Carl Gustav Jung et donc la source de vos humeurs et de vos caprices.

Qui mieux que cet éminent expert pourrait vous aider à accepter que cette humeur démontre que nous sommes de nature changeante.L'accepter c'est apprendre à l'aimer.
12-11-2019
Vous pensez que l'alcool, devenu quotidien, ne sera jamais plus fort que vous ?

Vous avez tort..le temps nous rattrappe comme le vieillissement et le produit alcoolisé qui rentre dans vos veines sans saveur aussi !
Une immense souffrance se cache en vous et s'apaise grâce au pouvoir anesthésiant alcoolique, comme maintenue à distance elle deviendrait presque tolérable cette douleur. Certes !
Pourtant, l'alcool ne lave rien, ni culpabilité, ni solitude ni chagrin, il éloigne juste le fond du problème. Mais à quel prix ?

Inutile d'énumérer le prix payé car un verre supplémentaire se rajoute quand vous affrontez vos responsabilites familiales, financiéres, etc.. pour oublier le mal fait.
Vous êtes en effet une personne sensible vous également.
Oui vous savez tout, vous ressentez tout, vous luttez mais le mal-être camouflé rejaillit vite. Il rappelle le produit à la rescousse encore..encore..encore..
Cela est normal face à une addiction. Acceptez cet état de fait appelée "dépendance" pour vous sauver de ce piège qui se referme et le pas le plus dur sera posé !
Vous êtiez uniquement au départ en recherche de solution en utilisant l'alcool mais aujourd'hui il vous domine.
Il est temps d'arrêter de subir : votre liberté sera mille fois meilleure que le goût de ce poison qui vous amenuise chaque jour sans en avoir l'air.
Oublions le pourquoi et ré-ouvrez simplement les volets de votre conscience : vous voyez votre coeur respire toujours la vie !
Par la thérapie vous pourrez renaître car il n'est jamais, jamais, jamais trop tard.
12-11-2019
Il est d'usage courant de lire x recommandations pour améliorer sa qualité de vie tout comme la qualité de ses nuits.
En effet, l'insomnie frappe beaucoup de personne et par surprise, un jour ou l'autre, y compris les petits non épargnés.

Gardez en tête 5 piliers fondamentaux chaque soir :

1/une digestion alimentaire non tardive (2h avant le coucher minimum),
2/ un repos mental activé par de la musique la lecture ou la méditation,. .sachant que le corps se régénère la nuit et que c'est vital pour chaque organe,
3/ une respiration ventrale, en position allongée, pour se recentrer sur les sensations physiques en laissant pas à pas le conscient s'apaiser (5 min),
4/une relaxation "du verbe" en évitant explications, prise de décision ou communication possiblement conflictuelle dans la fin de soirée,
5/ un état nerveux au strict repos : restez dans une bulle de bien-être et reporter au lendemain les tracas intellectuels.

La nuit porte conseil et fait émerger les idées : aucun contrôle à exercer sur vos pensées nocturnes !
Le sommeil est un refuge pour votre cerveau en veille et toujours en sécurité jusqu'à l'éveil final.
12-11-2019
L'homme ne peut consentir à perdre une vie (tout comme la sienne) et un être disparu dans son entourage est une plaie béante presque incicatrisable dans son coeur.

Comment concevoir de vivre après le deuil car le cerveau ne sait comment faire ? Il fait appel à la conscience pour trouver un sens à oser poser un pas le lendemain..après les médicaments et les pleurs souvent venus à la rescousse du désespoir.

En effet, l'esprit a la capacité de prendre le relais après un tel choc de vie qui apparaît pure cruauté ! Seule la recherche d'une raison d'un point de vue spirituel pourra vous sauver.
L'esprit aurait-il ses raisons que la raison ne sait entendre ?

Le deuil nous conduit à une part de nous-même insoupçonnable, qui jaillit du tréfonds et nous défigure pour faire apparaître un nouveau visage.
Un nouveau visage pour de nouveaux présages : le regard change, l'état de conscience s'amplifie, le moment présent est accueilli ici et maintenant intensément ou avec détachement de telle sorte que le défi (de continuer à vivre) nous pousse à renaître. L'avenir inconnu perd de sa frayeur car le pire est déjà arrivé !

Après de l'inattendu si sombre, le léger est le bienvenu ! Oser y croire encore c'est être sauvé. La thérapie vous le dévoilera.

La vie redevient incandescente même si elle a brûlé nos ailes car le deuil se devait de vous relier à votre profond vous-même ignoré.
12-11-2019
Etre présent à soi-même, une évidence qui s'impose à l'esprit  ! Une réalité plus complexe dans la mise en application mentale !

Comment y parvenir ? Certains ont appris depuis tout petit. D'autres cherchent les panneaux de signalisation sur leur route pour deviner la destination.

Etre dans une présence à soi-même représente plus que le "être bien et ensemble, unis aux autres et fidèle à ses sensations à la fois". 

Le lien d'écoute, les sensations partagées en aller-retours ne sont que des pré-requis.

Si vous êtes là, toutes les parties de vous, visibles et non palpables, seront du voyage ou plutôt du moment suspendu !

Comme si vous étiez dans une profondeur avec vous-même, dans chaque émoi porté en vous ou altruiste et attentivement aimanté par ce que les autres renvoient d'eux-mêmes.

Comme si vous détectiez le langage du corps : vous et le leur, par écho, miroir ou transparence.

Comme si vous étiez replié sur le soi sans verrouillage mais assez pour être serein et jamais déracinable.

Comme si ce temps de chaque instant était une ouverture à l'autre sans aller le chercher, sans s'immiscer, sans s'imposer.

Etre présent c'est toucher à une harmonie où tout ce que je suis et tout ce que vous faites et dites se marient, sans se déséquilibrer...jamais !

Vous êtes présent pour entretenir des suites de chronologies, sans heurts, qui affleurent l'empathie ou la laissent à distance, où le poids du temps s'efface.

C'est un souffle, un ravissement, un accueil spontané des plus plaisants : vous et l'environnement en toile de fond d'une belle peinture qui vous ressemble.

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